Nous avons la capacité d’analyser notre impact sur notre environnement et devons être plus ambitieux. Il faudrait anticiper l’intégration ou la réintégration du vivant en amont de tout projet urbain, de construction, de rénovation ou d’animation. Et créer à chaque fois des espaces où l’on sait que des plantes pousseront et grimperont, que des espèces animales trouveront un refuge, etc.
Extrait de l'article « Pour demain, je rêve d’une ville inclusive qui célèbrera le vivant »